melodrame

Nous tous, lésés rêveursNous nous plaisons dans nos malheursLe monde entier s’en plaintMais pourtant, comme moi, tu fais rienPardonne ma question du coupSais-tu pourquoi tu panses tes g’noux?Si encore, sans cesse, toujours, pour direT’attends tranquille ton tour
 
La même, j’suis le premier, c’est vraiJ’aime plagier le parfaitMais qu’est-ce que quelques larmesPour l’attention d’mon mélodrame?Comme d’hab, l’extrapolerPourquoi pas même le sublimer?Alcoolisé et drogué le soirT’abuses, t’aimes en jouer
La vie de l’Homme c’est toutLe rien c’est jamais assez fouIl blesse s’il est à boutLâchement te vend s’il prend des coupsL’humain veut plus penser, tu saisLa frousse d’être critiquéSoumis, t’aimes trop te taireMême si tu crois le contraire
 
Société surfaiteQuand l’égo te met en scèneDévoile moi l’envers, sans peineOù l’Homme ne cherche plus à se plaireParadis abstraitTe fais pas discret, et mêmeMontre-moi le repère, sans haineOù l’Homme se vante plus de complaire
D’nos jours j’ai peur de dire
 
Parfois je crains même d’un peu rireLoin d’moi l’idée d’te nuireJ’ai jamais voulu t’faire souffrirMais l’angoisse, faut l’avouerD’oser par soi-même y penserM’a, tout comme toi, forcéD’valser bêt’ment au bal masqué
 
Crois-moi, retiens mes motsPromis, mon conseil c’est pas fauxLe bonheur sera l’audaceQu’aura ton coeur si tu rêvassesPour un jour, banni l’orgueilPeu m’importe que le monde le veuilleUn jour se satisfaireSans jamais vouloir mieux faire
 
Société surfaiteQuand l’égo te met en scèneDévoile moi l’envers, sans peineOù l’Homme ne cherche plus à se plaireParadis abstraitTe fais pas discret, et mêmeMontre-moi le repère, sans haineOù l’Homme ne cherche plus à complaire
 
Trop souvent j’perds mon tempsÀ sans cesse compter l’montantBien triste mais sans l’argentT’en profites pas autant
 
Les rêves sont pas gratuitsMême si la rumeur le ditLa vie c’est pour les grandsPlus d’place pour les enfants
 
Les jobs, les testamentsRepars, envole-toi Peter Pan!Plus d’place pour la magieDans ce monde où l’Homme a tout dit
 
J’espère souvent mon litHeureusement qu’rêver c’est permisAlors j’m’adresse à toiLe gardien du pays
 
Dis-moi si ça te ditQu’on vienne te voir une fois l’ami?Ce sera pas comme sur terreJ’polluerai plus ton air
 
Ce sera plus comme des millénairesPromis plus d’polémiques de guerreJ’te refile pas l’enferJ’veux juste une nouvelle ère
 
Société surfaite (oh-oh)Quand l’égo te met en scèneDévoile moi l’envers, sans peine (ooh)Où l’Homme ne cherche plus à se plaire (ooh)Paradis abstrait (paradis)Te fais pas discret, et même (ey)Montre-moi le repère, sans haine (oh-oh-oh)Où l’Homme se vante plus de complaire
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